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DAKAR 2009 :

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27.11.2008

Prochaine escale, Buenos Aires ! Les vérifications administratives et techniques pour les européens s’achèvent jeudi soir au Havre, où les derniers des 710 véhicules vont satisfaire à la batterie de tests qui leur étaient imposés.

Désormais, les bolides des candidats attendent sur le parc fermé du port du Havre, prêts à embarquer. Le « Grande Benelux », le bateau qui assurera la traversée de l’océan atlantique, doit arriver dimanche soir au Havre. Les premiers engins y seront chargés dès lundi, à 6 heures du matin.

En plus des 710 provenant de la course et des assistances, une soixantaine de véhicules appartenant à l’organisation et aux prestataires et une cinquantaine aux médias prendront place à bord. C’est ainsi quelques 820 véhicules qui prendront la mer lundi soir.

Le point de départ d’une traversée qui s’achèvera le 16 ou le 17 décembre à Zarate, le port de la capitale argentine. Une centaine de véhicules (les américains, les sud américains et les tops teams) passeront quant à eux leurs vérifications techniques à Buenos Aires les 31 décembre et 1er janvier.

Un pilote en première ligne
L’ancien pilier de l’équipe de France de rugby, Christian Califano, a satisfait ce matin aux vérifications administratives et techniques. « C’est une première épreuve réussie », a commenté le rugbyman qui, au guidon de sa Yamaha 450 WRF, disputera son premier Dakar. « Physiquement, la préparation pour un Dakar est semblable à celle pour une Coupe du Monde de rugby », a-t-il également expliqué. Après la récente victoire des Bleus sur les Pumas à Marseille (12-6), pas sûr qu’il soit bien accueilli en Argentine…

Lettonant périple
Enfin ! Le team letton Riga Rally-Raid a rallié Le Havre jeudi dans la matinée, avec… 24 heures de retard sur l’horaire de leur convocation. Une tempête de neige dans les pays baltes et en Pologne a contraint les membres de l’équipage à modifier ses plans. Au lieu de rouler avec leurs 3 buggys jusqu’au Havre, ils ont dû les faire venir en poids lourds. Quant à leurs camions d’assistance, ils les ont envoyés au Havre… en ferry. Durée du trajet : deux jours et demi.

Les Mitsu dans la phase finale
Au Havre, le team Mitsubishi a fait vérifier deux camions de course, cinq camions et huit voitures d’assistance. En revanche, pas de trace des voitures de Peterhansel, Alphand, Masuoka et Roma. « Les véhicules sont encore dans les ateliers de Pont-de-Vaux, renseigne Jean-Marc Bonnay. Ils sont tout neufs, donc nous avions besoin du mois supplémentaire dans notre programme. » Résultat, les nouvelles Mitsu prendront l’avion aux alentours du 20 décembre direction Buenos Aires.

De la voiture au quad…
Certes, le nombre de roues est identique, mais l’engin n’est pas tout à fait le même… Devant le retard que prenait la préparation de sa voiture, l’Ukrainien Vadym Nesterchuk a dû prendre mercredi matin une décision aussi rapide que radicale : il fera le Dakar en quad, un bon ami ayant pu le dépanner en lui en prêtant un. Problème, Vadym n’est pas exactement un as du quad. « Il lui reste un mois pour s’entraîner », tente de se rassurer son ami et compatriote Yuriy Gzenbenyuk, qui, lui, fera le Dakar en camion.







http://www.dakar.com/2009/DAK/presentation/fr/r3_1-news.html#art23179

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04.12.2008
Parti dans la nuit de lundi à mardi, le bateau de l’organisation qui transporte les 800 véhicules du Dakar 2009 est actuellement au large de Lisbonne ! sa vitesse de croisière est de 17 nœuds !
L’équipage du bateau et le personnel ASO qui sont à bord vous tiendront régulièrement informés de leur position.

[img]http://www.dakar.com/PHOTOS/HOME/actualites/home_fr_grandebene.jpg[/img

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le parcours :



Entre deux océans, l’aventure extrême
Le Dakar 2009 part à la découverte d’un continent, l’Amérique du Sud, qui offre des possibilités illimitées aux amateurs de grands espaces. L’aller-retour jusqu’à Buenos Aires, en passant par Valparaiso, constitue un défi dans lequel les sportifs les plus endurants trouveront leur compte et tiendront une opportunité de se distinguer. Avec un kilométrage de spéciale d’environ 6 000 kilomètres, et des difficultés réparties sur l’ensemble du parcours, la lutte pour le titre restera longtemps indécise.

ARGENTINE - CHILI
DATE DÉPART ARRIVÉE LIAISON SPÉCIALE LIAISON TOTAL
03/01/09 Buenos Aires Sta Rosa de la Pampa 196 km 371 km 166 km 733 km
04/01/09 Sta Rosa de la Pampa Puerto Madryn 0 km 237 km 600 km 837 km
05/01/09 Puerto Madryn Jacobacci 70 km 616 km 8 km 694 km
06/01/09 Jacobacci Neuquen 4 km 459 km 25 km 488 km
07/01/09 Neuquen San Rafaël 173 km 506 km 84 km 763 km
08/01/09 San Rafaël Mendoza 76 km 395 km 154 km 625 km
09/01/09 Mendoza Valparaiso 80 km 419 km 317 km 816 km
10/01/09 Journée de repos
11/01/09 Valparaiso La Serena 245 km 294 km 113 km 652 km
12/01/09 La Serena Copiapo 88 km 449 km 0 km 537 km
13/01/08 Copiapo Copiapo 20 km 666 km 0 km 686 km
14/01/08 Copiapo Fiambala 20 km 215 km 445 km 680 km
15/01/08 Fiambala La Rioja 4 km 253 km 261 km 518 km
16/01/08 La Rioja Cordoba 161 km 545 km 47 km 753 km
17/01/08 Cordoba Buenos Aires 224 km 227 km 341 km 792 km
18/01/08 Buenos Aires Buenos Aires 0 km 0 km 0 km 0 km
TOTAL 1 361 km 5 652 km 2 561 km 9 574 km

haut

Une gamme complète
L’étendue de l’Argentine, avec plus de 3 500 kilomètres du nord au sud, confère au pays le statut « d’autre géant » du continent. Sur un territoire marqué par les contrastes naturels et culturels, les distances y sont toujours longues : nous sommes dans le registre de l’immensité. Pour les voyageurs, les amateurs de cartes et précisément les amoureux du rallye-raid, l’étude des lieux fait sans cesse jaillir des idées. En Argentine, les concurrents du Dakar 2009 ont l’assurance de s’attaquer à une épreuve d’endurance extrême.

S’il ne s’agit pas tout à fait d’un « Tour d’Argentine », la boucle proposée, en partance et à destination de Buenos Aires, donnera l’occasion aux pilotes de s’exprimer sur toute une gamme de terrains. En mettant dans un premier temps cap au sud, les fidèles du rallye retrouveront des pistes rapides, avec des kilométrages importants dès les premiers jours de course. Après avoir goûté au « dur », les pilotes trouveront aussi du « mou ». Sur le trajet du retour, plusieurs étapes sablonneuses permettront aux experts du franchissement d’abattre leurs cartes. Au total, les équipages qui arriveront au bout auront visité dix des vingt-trois provinces du pays : il y en aura pour tous les goûts.

Les provinces traversées
Buenos Aires - Capitale fédérale
Province de Buenos Aires
La Pampa
Rio Negro
Chubut
Neuquén
Mendoza
Catamarca
La Rioja
Cordoba
Santa Fe


Un peu d’histoire

Avec près de 3 500 km de distance entre la frontière bolivienne et les extrémités de la Terre de Feu, l’Argentine a la carrure d’un État-continent. Son étendue, sur l’axe nord-sud comme sur la ligne est-ouest, donne plusieurs visages au pays. Sur le plan du climat, du relief ou du mode de vie, c’est la variété qui caractérise les nombreuses régions qui forment l’Argentine. Terre d’accueil des Espagnols lors des premières vagues d’immigration au XVIe siècle, puis de nombreux Italiens, Allemands et Français, attirés par la prospérité de la capitale au XIXe siècle, l’Argentine a procédé à travers les époques à l’invention d’un modèle culturel à part, auquel les Européens s’acclimatent aisément.

L’Argentine et le sport
Le pays tout entier vit au rythme de la sélection Albiceleste, victorieuse à deux reprises de la Coupe du Monde, en 1978 et en 1986, et également quatorze fois titrée en Copa America. Si l’icône du sport national reste Diego Maradona, c’est pourtant la bande de Passarella, Ardiles et Kempes qui conduisit pour la première fois les bleus et blanc au succès planétaire. Et c’est l’attaquant Gabriele Battistuta, Batigol, emblème de l’après Maradona, qui détient le record de buts en sélection (56). La passion pour le football n’attend pas les grandes échéances internationales pour s’exprimer. Le derby de Buenos Aires, entre Boca Juniors et River Plate, dans le stade de la Bombonera, est considéré comme le plus chaud de la planète.

Plusieurs autres ambassadeurs ont nourri les unes des gazettes sportives du monde entier, à commencer par Guillermo Vilas, pionnier de l’école argentine de tennis, qui fait des ravages sur terre battue. Si elle n’est pas parvenue à s’illustrer, comme son aîné, à Roland-Garros, Gabriela Sabatini s’est en revanche imposée à l’US Open en 1990. Chez les hommes, Gaston Gaudio a quant à lui brandi la coupe des Mousquetaires en 2004, 27 ans après son mentor, dans une finale 100% argentine contre Guillermo Coria.

La fierté patriotique des Argentins a également trouvé à s’exprimer lors des Jeux Olympiques d’Athènes, où leur équipe de basket, menée par Manu Ginobili, a terrassé les favoris américains, puis les Italiens, pour remporter la médaille d’or. Toujours en bleu et blanc, ce sont les Pumas qui ont perturbé la hiérarchie internationale du rugby en terminant à la troisième place de la coupe du monde disputée en France en 2007.

En sports mécaniques, c’est bien entendu Juan-Manuel Fangio, quintuple champion du monde de F1 dans les années 50, qui demeure le pilote de référence dans l’histoire du pays. Son successeur est toujours attendu, mais le maître a fait beaucoup d’émules puisque, toutes disciplines confondues, la fédération argentine de sports automobiles compte parmi les plus importantes du monde. En rallye raid, le rendez-vous du Por las Pampas s’est installé comme une des dates importantes de la saison. À son palmarès, figurent notamment Luc Alphand, Jean-Louis Schlesser, Bruno Saby ou Marc Coma.

Sur le Dakar, la poignée d’expériences argentines a été peu fructueuse pour le moment, bien que l’équipage Sergio Gora – Pablo Gomes soit arrivé deux fois à bon port, avec une 45e place au général en 2002. C’est probablement à domicile que la démonstration aura lieu.

En bref…
Population : 39 921 833 hab.
Superficie : 2 766 890 km²
Capitale : Buenos Aires (13 000 000 hab.)
Monnaie : Peso argentin
Langue officielle : espagnol
Villes principales : Cordoba (1 300 000 hab.), Mendoza (1 100 000), Rosario (1 095 000), La Plata (857 800), Tucuman (833 100)


Plus haut, plus fort
Le Chili, c’est aussi le royaume des superlatifs : on y trouve la chaîne de montagnes la plus longue du monde, avec le plus haut volcan ; et le désert le plus aride de la planète, avec les plus hautes dunes qui puissent exister. Le cadre se prête donc idéalement au rallye le plus dur au monde, qui s’adresse en premier lieu à des aventuriers épris de grands espaces. C’est avec cette démarche que les concurrents se dirigeront vers Valparaiso, où ont déjà fait étape avant eux des baroudeurs comme Jack London, ou encore, dans l’imaginaire d’Hugo Pratt, le célèbre Corto Maltese.

Avant de profiter d'une journée de repos au bord de l’Océan Pacifique, les concurrents auront donc à franchir la Cordillère des Andes. L’obstacle fera peut-être baisser la moyenne de la course. Il laissera surtout à tous des images uniques en mémoire. L’énergie puisée dans ces clichés leur sera en tout cas indispensable au moment de pénétrer dans le désert d’Atacama. L’expérience des dunes y sera au moins autant utile que les aptitudes à la navigation. Pour les champions comme pour les autres, il y a de sérieux risques de perdre des minutes et des heures dans le sable chilien.

Les régions traversées
Valparaiso
Coquimbo
Atacama


Un peu d’histoire

Long et mince. La physionomie du Chili, dont les limites sont imposées d’un côté par l’océan pacifique, de l’autre par la chaîne andine, en fait un des pays les plus étendus de la planète. Avec 4 300 km du nord au sud (près de 5 400 km de littoral au total !), le Chili n’a pas d’équivalent dans le domaine. En revanche, sa largeur n’excède jamais 349 km et rétrécit même jusqu’à une quinzaine de kilomètres dans le sud. Sur ce territoire filiforme, tous les types de climat sont déclinés, ainsi que tous les reliefs. Du désert d’Atacama, réputé comme le plus aride du globe, au sommet de l’Ojos del Salado, le volcan actif le plus élevé au monde (6 893 m), le Chili offre une palette de paysages complète. Question rencontres, la variété est également de mise : on y croise aussi facilement des lamas que des Manchots empereur !

Le Chili et le sport
Un peu moins roi que chez ses voisins, le football chilien peut revendiquer une troisième place gagnée lors de la Coupe du monde organisée à domicile, en 1962. Les coups d’éclat du club de Colo-Colo, vainqueur de la Copa Libertadores, ou des expatriés en Europe Marcelo Salas et Ivan Zamorano, lui assurent toutefois une bonne réputation.

Sur le terrain de l’olympisme, c’est un duo de tennismen qui a apporté la première médaille d’or au pays, avec Fernando Gonzalez et Nicolas Massu. Un autre tennisman chilien, Marcelo Rios, s’est illustré en devenant le seul joueur à occuper la première place du classement mondial sans avoir jamais remporté un tournoi du Grand Chelem.

En sports mécaniques, c’est sur deux-roues que s’est illustré le plus grand représentant chilien. Enduriste de talent, Carlo De Gavardo a surtout brillé sur le Dakar, où il s’est classé cinq fois dans le Top 10, montant même sur le podium en 2001. Décidé à se convertir à l’auto, il a parallèlement entamé une seconde carrière de team manager. De Gavardo a également montré la voie à un des espoirs de la discipline, vainqueur de la coupe du monde de rallye raid en 2006 en 450cc, Francisco « Chaleco » Lopez.

Sur quatre roues, le prochain Dakar a toutes les chances d’accueillir le pilote le plus complet du pays : Eliseo Salazar, qui a déjà fréquenté les circuits du championnat du monde de F1, du Mans et de l’Indy Car, sévit maintenant sur le championnat chilien de rallye. En attendant le grand rendez-vous…

En bref…
Population : 16 150 000 hab.
Superficie : 756 945 km²
Capitale : Santiago de Chile (4 400 000 hab.)
Monnaie : Peso chilien
Langue officielle : espagnol
Villes principales : Concepcion (1 320 000 hab.), Puente Alto (647 600), Vina del Mar (286 931), Antofagasta (296 905), Valparaiso (275 932)

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Étape 1 - Samedi 3 janvier
Buenos Aires > Santa Rosa
Liaison : 196 km | Spéciale : 371 km | Liaison : 166 km | Total : 733 km

Beaucoup ont entendu parler de la Pampa où l’homme est réputé « rude, mais reste toujours courtois ». Cette première étape donnera l’occasion de découvrir dans la longueur ces vastes plaines. Les concurrents du Dakar n’ont jamais débuté par une spéciale aussi longue. Avec près de 400 km d’une piste roulante, peut-être la plus rapide au programme, il s’agira d’une sérieuse mise en jambes. Ce sera l’occasion pour tous d’affronter une longue journée qui règlera tous les problèmes d’adaptation au décalage horaire.



Étape 2 - Dimanche 4 janvier
Santa Rosa > Puerto Madryn
Liaison : 0 km | Spéciale : 237 km | Liaison : 600 km | Total : 837 km

La plus longue étape du rallye ne sera pas nécessairement la plus difficile. Encore faut-il l’aborder avec vigilance, et surtout équipé de la panoplie complète du rallye man. Après une première partie de spéciale plutôt rapide, un avant goût de sable sera proposé. Sur les hors-pistes de cette étape, les copilotes auront tout intérêt à se montrer précis sur leurs caps. Les plus distraits commenceront déjà à « faire des ronds ».



Étape 3 - Lundi 5 janvier
Puerto Madryn > Jacobacci
Liaison : 70 km | Spéciale : 616 km | Liaison : 8 km | Total : 694 km

Pour un troisième jour de course, le programme de la spéciale est conséquent, avec plus de 600 km. C’est le signe que les concurrents seront dans le vif du sujet, bien que les grosses difficultés soient encore à venir. L’entrée en Patagonie, qui s’accompagne d’un changement de terrain significatif, nécessitera de nouvelles aptitudes de pilotage. Le paysage est nettement plus vallonné : les adeptes des longues courbes y trouveront leur compte. Ici, on se repère aux lacs qui bordent la piste, environ une dizaine dans la journée, et aux nombreux flamants roses, qui seront les guides privilégiés de l’étape.



Étape 4 - Mardi 6 janvier
Jacobacci > Neuquen
Liaison : 4 km | Spéciale : 459 km | Liaison : 25 km | Total : 488 km

Au départ de cette étape les passages pierreux solliciteront à plein les bras des motards, alors que les habitués des « oueds » négocieront avec la même délicatesse les « rios » argentins. Puis les premières portions de sable et les nombreux kilomètres de hors-piste raviront les amateurs. Attention, les fautes peuvent commencer à coûter cher : l’expédition vers Neuquen a tout de l’étape piège. En creusant des écarts importants ou pas, les favoris pourraient commencer à se montrer, et à dessiner une hiérarchie durable.



Étape 5 - Mercredi 7 janvier
Neuquen > San Rafael
Liaison : 173 km | Spéciale : 506 km | Liaison : 84 km | Total : 763 km

Le test majeur de la première semaine de course se joue peut-être sur le chemin de San Rafael. Le kilométrage important obligera à garder un niveau de concentration constant. Les pilotes seront aussi confrontés à de vrais passages de dunes, dont un cordon de près de vingt kilomètres. De longs passages en hors piste alterneront avec des parties beaucoup plus techniques, dans les remontées de « rios ». Au niveau visuel, la Cordillère occupe l’horizon, mais les flâneries seront proscrites : une arrivée trop tardive au bivouac laisse toujours des traces.



Étape 6 - Jeudi 8 janvier
San Rafael > Mendoza
Liaison : 76 km | Spéciale : 395 km | Liaison : 154 km | Total : 625 km

Le programme du jour est à nouveau chargé en franchissements, puisqu’en début de spéciale, il faudra rouler sur une soixantaine de kilomètres de dunes. Le tracé redevient roulant dans la deuxième partie, mais les concurrents pourraient bien être ralentis par un large gué, qu’il faudra négocier dans les règles de l’art pour éviter un bain prolongé. En arrivant à Mendoza, le rallye pénètre dans les contreforts du massif andin.



Étape 7 - Vendredi 9 janvier
Mendoza (ARG) > Valparaiso (CHL)
Liaison : 80 km | Spéciale : 419 km | Liaison : 317 km | Total : 816 km

La variété des terrains et des paysages, donnée constante du Dakar 2009, se manifeste encore sur cette étape, où au-delà du changement de pays, la plupart des concurrents feront connaissance avec la Cordillère des Andes. Avant de s’y mesurer, ils devront se défaire d’une série de dunes, et d’une séance de fesh-fesh strictement identique à celui du Sahara, mais que les habitants de la région appellent le guadal. Côté montagne, il s’agira de l’unique spéciale comportant des passages à 3 000 mètres, sur des pistes techniques, qui laisseront quelquefois l’occasion d’adresser un clin d’œil à l’Aconcagua, le point culminant des Andes (6 959 m). Puis, les concurrents passeront la frontière en liaison pour rejoindre la mer à Valparaiso.



Étape 8 - Dimanche 11 janvier
Valparaiso > La Serena
Liaison : 245 km | Spéciale : 294 km | Liaison : 113 km | Total : 652 km

Après une journée de repos sur les bords de l’Océan Pacifique, une reprise en douceur a été programmée. Sur les pistes de moyenne montagne, les as du volant devraient pouvoir prendre la parole. Les experts du placement de la voiture, de la trajectoire et du gros freinage ont un coup à jouer. Mais pour les leaders du rallye, il y a certainement plus à perdre qu’à gagner sur cette étape.



Étape 9 - Lundi 12 janvier
La Serena > Copiapo
Liaison : 88 km | Spéciale : 449 km | Liaison : 0 km | Total : 537 km

Nous sommes dans le premier acte d’une trilogie décisive. La réputation du désert de l’Atacama, présenté comme le plus aride du monde, pourra être éprouvée par les concurrents. Ceux qui espèrent y trouver beaucoup de dunes seront comblés. Mais ils seront aussi généreusement servis en cailloux. Cette étape porte la signature du Dakar 2009, avec des changements de terrains nombreux. Le positionnement des difficultés, avec de longues portions de dunes dans le final, imposera aux pilotes de garder leurs forces. Il faudra à la fois faire preuve de polyvalence et d’un sens aigüe de la gestion de l’effort.



Étape 10 - Mardi 13 janvier
Copiapo > Copiapo
Liaison : 20 km | Spéciale : 666 km | Liaison : 0 km | Total : 686 km

La spéciale du jour est tout simplement la plus longue et la plus difficile du rallye. Comme la veille, c’est en fin de journée que les concurrents aborderont une série de dunes d'une centaine de kilomètres. Et dans ce domaine, même les meilleurs spécialistes éprouveront un sentiment de nouveauté. Les dunes chiliennes sont de véritables montagnes de sable dont il faut apprendre à escalader et dévaler les flancs, sur plus d’un kilomètre. Autre inconnue : avec les grandes chaleurs qui séviront sur la région, personne ne connaît avec précision le comportement du sable. Quoi qu'il en soit, garder sa lucidité jusqu’au bout sera impératif.



Étape 11 - Mercredi 14 janvier
Copiapo > Fiambala
Liaison : 20 km | Spéciale : 215 km | Liaison : 445 km | Total : 680 km

Sur l’étape la plus majestueuse du rallye, l’application des copilotes sera au centre des enjeux. Les véhicules quittent le matin l’Océan Pacifique, pour mettre le cap sur la frontière. Entre temps, il faudra constamment faire des choix sur les vallées à emprunter. Le retour en Argentine se fera dans un cadre enchanteur, au Paso San Francisco, à près de 4 700 mètres d’altitude. Pour clôturer cette longue « journée des couleurs », la liaison mènera les concurrents dans un décor de sable aux airs mauritaniens. Si le hasard s'en mêle, le rallye pourrait même y faire l’expérience de « l’hiver bolivien », un phénomène rare qui provoque parfois des chutes de neige, en plein été !



Étape 12 - Jeudi 15 janvier
Fiambala > La Rioja
Liaison : 4 km | Spéciale : 253 km | Liaison : 261 km | Total : 518 km

En matière de franchissement, la spéciale du jour est un concentré de technique. Plusieurs types de dunes se présenteront, y compris les très redoutées « dunes blanches ». À trois jours de l’arrivée, cette étape peut bouleverser la hiérarchie, spécialement parce que les véhicules d’assistance n’ont pas accès au bivouac de Fiambala. La règle absolue, c’est encore de savoir économiser sa machine.



Étape 13 - Vendredi 16 janvier
La Rioja > Cordoba
Liaison : 161 km | Spéciale : 545 km | Liaison : 47 km | Total : 753 km

Après les milliers de kilomètres avalés, cette avant-dernière étape constitue un défi physique de premier ordre. Pour les pilotes de pointe, il faudra y tenir ses positions, tandis que les amateurs auront à se préserver de l’excès de confiance. Les erreurs pourraient laisser des souvenirs amers, puisque ce sera la journée des cactus. Au bivouac, les médecins devraient jouer de la pince à épiler. Enfin, pour les experts du rallye traditionnel, certaines routes font partie du patrimoine de la manche de coupe du monde qui se déroule chaque année à Cordoba. Ici, les aficionados garantissent une grande fête populaire.



Étape 14 - Samedi 17 janvier
Cordoba > Buenos Aires
Liaison : 224 km | Spéciale : 227 km | Liaison : 341 km | Total : 792 km

L’aventure a débuté dans la Pampa. Après avoir exploré deux véritables états-continents, les concurrents retrouveront un type de paysages familier. Sur ces longues pistes roulantes, la concentration reste de mise. Ceux qui arriveront classés à Buenos Aires auront achevé la boucle la plus impressionnante jamais réalisée en rallye raid. Et ils resteront à jamais les premiers.

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Parmi les équipages Ch'tis au départ, citons le team Ch'ti Friterie qui alignera sur la grille un 4x4 toyota aménagé en friterie !




Toyota HZJ 79 "Ch'Ti Friterie" Pilote : Hervé DIERS Copilote : François BEGUIN

"Une vraie friterie dans un véritable véhicule de course


Toyota pick-up de série, réputé pour sa robustesse et sa fiabilité, développant 200 cv et transportant un module friterie à l’arrière.

Il s'agit d'un véritable véhicule de course capable de rivaliser avec les meilleurs de sa catégorie, grâce à son endurance et à sa régularité.


Pourquoi une friterie ?

Pour mettre en lumière, de manière originale et médiatique, le savoir faire des entreprises industrielles du Nord de la France, notamment HEDIMAG, constructeur de friteries mobiles, et SOFINOR, fabricant de friteuses inox, tous deux fournisseurs de la célèbre friterie “Momo” du film “Bienvenue chez les Ch’tis”. Pour rendre hommage à la culture, au patrimoine et à l'identité "Ch'ti", comme a su le faire Dany Boon avec son film "Bienvenue chez les Ch'tis".

Pour prouver qu'il existe une alternative au pétrole cher :
l'huile de friture pour carburant. Moins d'émission de C02, des ressources naturelles préservées et une double utilisation de la matière première !
Pour créer l'événement lors des bivouacs à chaque fin d'étape avec l'ouverture de la Ch'ti Friterie" qui proposera (gratuitement) des frites et des fricadelles cuites sur place et à emporter."

rendez vous sur http://www.chtifriterie.com

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les engagés auto

300 PETERHANSEL Stéphane (FRA)COTTRET Jean-paul (FRA)MITSUBISHI
301 SAINZ Carlos (ESP)PERIN Michel (FRA)VOLKSWAGEN
302 AL ATTIYAH Nasser saleh (QAT)THORNER Tina (SWE)BMW
303 ALPHAND Luc (FRA)PICARD Gilles (FRA)MITSUBISHI
304 ROMA Joan (nani) (ESP)CRUZ SENRA Lucas (ESP)MITSUBISHI
305 DE VILLIERS Giniel (ZAF)VON ZITZEWITZ Dirk (DEU)VOLKSWAGEN
306 CHICHERIT Guerlain (FRA)BAUMEL Matthieu (FRA)BMW
307 DEPPING Dieter (DEU)GOTTSCHALK Timo (DEU)VOLKSWAGEN
308 MILLER Mark (USA)PITCHFORD Ralph (ZAF)VOLKSWAGEN
309 GORDON Robby (USA)GRIDER Andy (USA)HUMMER
310 MASUOKA Hiroshi (JPN)MAIMON Pascal (FRA)MITSUBISHI
312 LAVIEILLE Christian (FRA)FORTHOMME Jean-Paul (BEL)PROTO
313 BARBOSA Miguel (PRT)RAMALHO Miguel (PRT)BMW
314 HENRARD Stéphane (BEL)BRUYNKENS Serge (BEL)VOLKSWAGEN
315 TERRANOVA Orlando (ARG)GUEHENNEC Alain (FRA)BMW
316 NOVITSKIY Leonid (RUS)TYUPENKIN Oleg (RUS)BMW
317 HOLOWCZYC Krzysztof (POL)FORTIN Jean-marc (BEL)NISSAN
318 VAN MERKSTEIJN Peter (NLD)CHEVAILLIER Eddy (BEL)BMW
319 DE AZEVEDO Jean (BRA)HADDAD Youssef (BRA)MITSUBISHI
320 MAGNALDI Thierry (FRA)LENEVEU Guy (FRA)BUGGY
321 ERRANDONEA Bernard (FRA)GARCIN Jean-pierre (FRA)BUGGY
322 SPINELLI Guilherme (BRA)VIVOLO Marcelo (BRA)MITSUBISHI
323 VAN DEIJNE Tonnie (NLD)ROSEGAAR Wouter (NLD)MITSUBISHI
324 GORDON Bob (USA)HIGMAN William (USA)HUMMER
325 MULLER Yvan (FRA)BUGGY
326 THOMASSE Pascal (FRA)LARROQUE Pascal (FRA)BUGGY
327 TOLLEFSEN Ivar erik (NOR)EVANS Quin (GBR)NISSAN
328 KAHLE Matthias (DEU)SCHUENEMANN Thomas (DEU)HONDA
329 SZALAY Balazs (HUN)BUNKOCZI Laszlo (HUN)OPEL
330 KUIPERS Rene (NLD)PALMEIRO Filipe (PRT)BMW
331 PALIK Laszlo (HUNDARAZSI Gabor (HUN)NISSAN
332 SALAZAR Eliseo (CHL)GARCIA Ruben (ARG)MC RAE
333 BIASION Massimo (ITA)BRIANI Rudy (ITA)MITSUBISHI
334 GAROSCI Riccardo (ITA)TORNABELL CORDOBA Rafael (ESP)MITSUBISHI
335 COX Alfie (ZAF)SCHRODER Jurgen (DEU)BUGGY
336 DE GAVARDO Carlo (CHL)BRUCY Jean (FRA)BUGGY
337 DE GROOT Michel (NLD)ULJEE Gaby (NLD)MC RAE
338 PATISSIER Isabelle (FRA)DELLI - ZOTTI Thierry (FRA)BUGGY
339 LOOMANS Jacky (BEL)LAUWERS Marc (BEL)NISSAN
340 ZAPLETAL Miroslav (CZE)OUREDNICEK Tomas (CZE)MITSUBISHI
341 DELAHAYE Regis (FRA)GAMBILLON Pascal (FRA)NISSAN
342 AZIS Janis (LVA)PRINCIS Ainars (LVA)OSC
343 SAUKANS Maris (LVA)ZARINS Didzis (LVA)OSC
344 FELDMANIS Andris (LVA)FELDMANIS Krists (LVA)OSC
345 POZZO Gabriel (ARG)FENESTRAZ Stéphanie (FRA)MITSUBISHI
347 LEAL DOS SANTOS Ricardo (PRT)PALMEIRO Filipe (PRT)BMW
348 BERKUT Alexey (RUS)NIKOLAEV Anton (RUS)MITSUBISHI
349 BUKATOV Boris (RUS)DODONOV Sergey (RUS)MITSUBISHI
350 JULIEN Jean-noël (FRA)AUBEL Pascal (FRA)RENAULT
351 LEYDS Chris (NLD)MC RAE Alister (GBR)MC RAE
353 FERYN Pascal (BEL)GUILLE Christophe (BEL)TOYOTA
354 CORONEL Tim (NLD)CORONEL Tom (NLD)BOWLER
355 PETRAITIS Aurelijus (LTU)JUKNEVICIUS Antanas (LTU)OSC
356 SOLOVIEV Yaroslav (RUS)ZHILTSOV Konstantin (RUS)BUGGY
357 LU Ningjun (CHN)HENNINOT Serge (FRA)BUGGY
358 SCHMIDT Tino (DEU)TIEFENBACH Philipp (DEU)MITSUBISHI
359 BROUWER Arjan (NLD)LEKKERKERKER Leendert (NLD)HONDA
360 VAN LOON Erik (NLD)WAMS Marc (NLD)VOLKSWAGEN
361 MICHIELS Albert (BEL)LEGEIN Cedric (BEL)VOLKSWAGEN
362 GARLAND Bruce (AUS)SUZUKI Hiroaki (AUS)ISUZU
363 SIREYJOL Patrick (FRA)VIDAL Paul (FRA)BOWLER
364 TURON-BARRERE Michel (FRA)MONBEIG Jean-Marc (FRA)BUGGY
365 SCHOTT Stephan (DEU)SCHMIDT Holm (DEU)MITSUBISHI
366 INOCENCIO Francisco (PRT)FIUZA Paulo (PRT)MITSUBISHI
367 INOCENCIO Nuno pedro (PRT)SANTOS Jaime (PRT)MITSUBISHI
368 PORNSIRICHERD Mana (THA)LACAMBRE Thierry (FRA)MITSUBISHI
369 KUZNETSOV Ilya (RUS)NESHIN Andrey (RUS)MITSUBISHI
370 MIRONENKO Alexandr (RUS)LEBEDEV Sergey (RUS)MITSUBISHI
371 LOGINOV Pavel (RUS)SHUBIN Kirill (RUS)NISSAN
372 LISZI Laszlo (HUN)FENESI Jozsef (HUN)MITSUBISHI
373 PELICHET Jerome (FRA)DECRE Eugenie (CHE)BOWLER
374 SALINERO Jose manuel (ESP)NISSAN
375 MITSUHASHI Jun (JPN)CATTARELLI Bruno (FRA)TOYOTA
376 STRUGO Jean-pierre (FRA)FERRI Yves (FRA)NISSAN
377 CHABOT Ronan (FRA)PILLOT Gilles (FRA)TOYOTA
378 GIBON Nicolas (FRA)MIURA Akira (JPN)TOYOTA
379 FOJ Xavier (ESP)PUJOLAR Joan (ESP)TOYOTA
380 KATAYAMA Ukyo (JPN)TERADA Masahiro (JPN)TOYOTA
381 BESSON Jean - pascal (FRA)KORNSTEIN Yves (FRA)MERCEDES
382 MACHADO Adelio (PRT)FLAMENT Laurent (FRA)TOYOTA
383 FONT POL Ferran (AND)AMBLAS MADRIGUERA Miquel (ESP)TOYOTA
384 TEN HARKEL Bob (NLD)RIJPMA Roland (NLD)BOWLER
385 SMULEVICI Etienne (FRA)MARTINEZ Jean-jacques (FRA)BUGGY
386 BARBIER Christian (FRA)RICHAUD Jean-Michel (FRA)MITSUBISHI
387 BERNARD Eric (FRA)CORNUAILLE Jean-Noël (FRA)BMW
388 JONCHERE Miguel (FRA)SEILLET Bruno (FRA)BOWLER
389 GOSSELIN Philippe (FRA)BONON David (FRA)NISSAN
390 LEPLAT Alain (BEL)DOMICENT Pierre (BEL)BOWLER
391 BOUTRON Philippe (FRA)MARTIN Jean-luc (FRA)BOWLER
392 ESTEVE PUJOL Isidre (ESP)AUGE MEDINA Eric (ESP)SSANGYONG
393 LEKAVICIUS Arunas (LTU)KRUCKAUSKAS Ramunas (LTU)MITSUBISHI
395 HERRADOR Javier (ESP)VICO Victor (ESP)BMW
396 BOSMAN Aart (NLD)DOMBURG Jan (NLD)MC RAE
397 DESPUJOLS Jean marc (FRA)PUCHOUAU Franck (FRA)TOYOTA
398 VANIERSCHOT Albert (BEL)BULENS Kris (BEL)TOYOTA
399 PITA Francisco (PRT)GONCALVES Humberto (PRT)TOYOTA
400 DIERS Herve (FRA)BEGUIN Francois (BEL)TOYOTA
401 REPARAT Jean-paul (FRA)DELAUNAY Sébastien (FRA)BUGGY
402 CAMPOS PEREIRA Martine (PRT)TEIXEIRA MARQUES Jose manuel (PRT)TOYOTA
403 DE FULGENCIO FONT Jose miguel (ESP)SANTAMARIA Ignacio (ARG)TOYOTA
404 ROCA Josep (AND)JATON Ariel (ARG)TOYOTA
405 VAN EIKEREN Mike (NLD)HERWEIJER Bastian (NLD)TOYOTA
406 DOBBELAERE Pascal (BEL)REEDIJK John (NLD)TOYOTA
407 NICOLAS GONZALEZ Josep (ESP)BOSCH Ignasi (ESP)TOYOTA
408 VISY Michel (FRA)BOURQUIN Philippe (FRA)BOWLER
409 CHAVIGNY Frederic (FRA)SINGERY Stéphane (FRA)NISSAN
410 DUBRISAY Arnaud (FRA)GIBON Dominique (FRA)BOWLER
411 OTANO Francisco (ARG)MONTI Leonardo (ARG)
412 BERNAT-SALLES Philippe (FRA)LAFEUILLADE Gilles (FRA)BOWLER
413 LARAIGNOU Jérôme (FRA)GALLO Stéphane (FRA)MITSUBISHI
414 NESTERCHUK Vadym (UKR)MESHCHERYAKOV Konstantin (RUS)MITSUBISHI
416 MESSIAEN Dimitri (BEL)MESSIAEN Vincent (BEL)TOYOTA
417 ZOETAERT Werner (BEL)BOUSSIER Katrien (BEL)VOLKSWAGEN
418 VICO CORDOBA Antonio (ESP)TOURINAN MORIST Rosendo (ESP)BOWLER
419 GREEN Paul (GBR)HARRISON Matthew (GBR)RALLY RAID UK
420 BARILLA Paolo (ITA)ELGH Lars eje (SWE)NISSAN
421 MARZOTTO Matteo (ITA)ALBIERO Giorgio (ITA)NISSAN
422 DUBUY Gérard (FRA)GODEFROY DE FRANCE Jehan (FRA)NISSAN
423 ARMONY Izhar (ISR)KADSHAI Aviv (ISRRALLY RAID UK
424 RIVIERE Jérôme (FRA)DE CHARRY Dominique (FRA)NISSAN
425 VAN MOURIK Gerrit (NLD)BOOIJ Henk (NLD)RALLY RAID UK
427 DE NORA Michele (ITA)DOMINELLA Maurizio (ITA)TOYOTA
428 GINON Olivier (FRA)GIRAUD Pascal (FRA)NISSAN
429 CREPET Paul (FRA)BOUCHE Guy (FRA)NISSAN
430 BANCIU Eugen (ROU)VASAI Marius (ROU)RALLY RAID UK
431 HUGOUNENQ Denis (FRA)JOYAU Etienne (FRA)RALLY RAID UK
432 RODRIGUEZ Pablo (ESP)VELA Diego (ESP)HERRATOR
433 RAUD Philippe (FRA)LEFEBVRE Guy (FRA)TOYOTA
434 NOVYTSKYI Bodgan (UKR)SOVGYR Sergii (UKR)MITSUBISHI
435 MATTIJS Joris (BEL)DE WITTE Jan (BEL)RALLY RAID UK
436 AIVAZIAN Marc (FRA)VITRY Emilie (FRA)TOYOTA
437 VOORHORST Iginio (NLD)VAN BERGEN HENEGOUW Jos (NLD)RALLY RAID UK
438 RADET Eric (FRA)HAQUETTE Didier (FRA)RALLY RAID UK
439 NEES Werner (BEL)GHERARDYN Mario (BEL)TOYOTA
440 BLANCHEMAIN Jean luc (FRA)BROUSSE Alain (FRA)TOYOTA
441 ROUND Paul (GBR)METCALFE Benjamin (GBR)RALLY RAID UK
442 BALLOY Guillaume (FRA)BALLOY Sylvie (FRA)TOYOTA
443 MIGRAINE- BOURGNON Florence (FRA)JOYEUX Clémence (FRA)TOYOTA
444 PICHINI Paulo henrique (BRA)ROLDAN Lourival (BRA)MITSUBISHI
445 RODRIGUEZ SIMON Joan (ESP)CODINA Francesco (ESP)NISSAN
446 GARROFE Jose maria (ESP)GARCIA Julio (ESP)BOWLER
447 WALLENTHEIM Par pelle (SWE)OHLSSON Olle (SWE)ISUZU
449 MURANO Jorge (ARG)IVECO
450 MEMI Andrès (ARG)TRIPPAR Daniel (ARG)MITSUBISHI
451 TIJSTERMAN Kees (NLD)JACOBS Jean pierre (NLD)DESERT WARRIOR
452 STEENHUISEN Eric (NLD)KEYSERS Kurt (BEL)DESERT WARRIOR
453 HARDY Jerome (FRA)BECART Frederic (FRA)MITSUBISHI
454 VANDENBERGHE Steve (BEL)ESPEEL Didier (BEL)NISSAN
455 DUTTON Mark (GBR)DUTTON Simon (GBR)BUGGY
456 ZIEGLER Michael (ARE)OAKLEY Ron (GBR)TOYOTA
457 DUCROUX Jean-pierre (FRA)LEQUENTREC Philippe (FRA)TOYOTA
458 HUMILY Jean-paul (FRA)MELOCCO Jean-pierre (FRBOWLER
459 GOUEDARD Daniel (FRA)HUMILY Thomas (FRA)BOWLER
460 TAKUMA Aoki (JPN)TAKATSUGU Aoki (JPN)ISUZU
461 JUCHAULT Jean-Louis (FRA)ROLET Xavier (FRA)TOYOTA
462 VARELA Reinaldo (BRA)MACEDO Marcos (BRA)MITSUBISHI
463 BARANENKO Alexander (RUS)SCHURGER Denis (FRA)TOYOTA
464 LATRACH Jorge (CHL)ALIAGA Americo (CHL)TOYOTA
465 EGUIGUREN Luis (CHL)BUSTAMANTE Claudio (CHL)TOYOTA
466 POIRAULT Christian (FRA)TARTARIN Yves (FRA)TOYOTA
468 VERONESI Carlos (ARG)CARBONARI Juan (ARG)BOWLER
469 SAMPIERI Claudio (CHL)ARANDA Miguel (CHL)NISSAN
470 BRIONES Alejandro (CHL)CAMPILLAY Javier (CHL)MITSUBISHI
471 AYALA Jean marc (FRA)CLEVENOT Joël (FRA)TOYOTA
473 RONDONNET Daniel (FRA)DA SILVA Louis (FRA)LAND-ROVER
474 VOLIKOV Viktor (RUS)KUZMICH Alexey (RUS)TOYOTA
475 DE CARCER Andrès (CHL)TRONCOSO Claudio (CHL)MITSUBISHI
476 ARRIETA Guillermo (URY)ARRIETA Fernando (URY)KIA
477 BAS Dominique (FRA)BIGOT Didier (FRA)MITSUBISHI
478 PESCHIERA Gabriel (ITA)RODRIGUEZ Juan pablo (CHL)TOYOTA
480 REGUNASCHI Francisco (ARG)GRIMI Federico Eduardo (ARG)TOYOTA
481 JANECEK Jiri (CZE)CHYTKA Viktor (CZE)TOYOTA
482 SHKEL Siarhei (BLR)TARANIENKO Alexander (DEU)TOYOTA
484 GIRARD Christophe (FRA)SIMONIN Eric (FRA)TOYOTA
485 GARCIA PUERTAS Beatriz (ESP)MANZANAL LOPEZ Miguel Angel (ESP)TOYOTA
486 FAVRE Frédéric (FRA)FAVRE Christine (FRA)TOYOTA
487 LOPEZ RIVAS Jose (ESP)RUBI Joan (ESP)MITSUBISHI
488 VAN KRUIJSDIJK Petrus (NLD)BOHNENN Cees (NLD)BOWLER
489 OLDE - SCHEPER Albertus (NLD)VAN LAARHOVEN Robertus (NLD)JEEP
491 FIDEL MEDERO Juan miguel (ESP)VENTAJA Javier (ESP)TOYOTA
492 SASKIN Daniel (HRV)BRUNER Damir (HRV)OPEL
493 VAN DER BEEK Wouter (NLD)HOOGENDYK Jan (NLD)KIA
494 SACHANBINSKI Aleksander (POL)RABIEGA Arkadiusz (POL)LAND-ROVER

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Il y a aussi Pascal Thomasse qui coure en Buggy et à le numéro 326. Il y a aussi Yvan Muller, champion du monde WTCC 2008 qui partira devant Pascal.

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01-01-2009 - Fins prêts

La dernière journée des vérifications techniques et administratives, dont l’enjeu principal était de boucler la liste des engagés, a attiré plus de 60000 spectateurs sur le site de La Rural. Les Porteños, comme les Argentins et les Chiliens en général, manifestent un enthousiasme proportionnel à celui des 837 concurrents qui prendront le départ samedi. Le plateau de 500 véhicules sera constitué de 217 motos, 25 quads, 177 autos et 81 camions. Favoris ou « poireaux », ils n’attendent plus que le coup d’envoi.

La perspective de disputer le Dakar en Amérique du Sud place en moyenne les concurrents dans un état d’excitation tout à fait raisonnable. Pour l’un d’entre eux, l’euphorie a toutefois conduit à une forme d’aveuglement, voire d’excès de confiance. Engagé pour la première fois sur le Dakar, le motard Chinois Li Zhiheng a tout simplement omis de prévoir une combinaison pour enfourcher sa KTM. Au rayon des étourderies, il s’est également présenté à Buenos Aires sans se préoccuper de la licence délivrée par la fédération internationale, indispensable pour prendre le départ du rallye. Avec ses deux compatriotes Chen Jianguo et Wei Guanghui, eux aussi légers avec la paperasse, Zhiheng se retrouve engagé dans une course contre-la-montre pour présenter avant le départ de la première étape une licence en bonne et due forme.

Hormis la triplette chinoise, à qui pourrait être décerné le grand prix collectif de la distraction, l’ensemble des concurrents avait au contraire préparé avec minutie le rendez-vous. L’exemple le plus abouti dans ce registre reste celui de l’écurie Mitsubishi, qui aligne quatre Lancer diesel. Le changement de technologie a exigé près de deux ans de développement, avec 17000 kilomètres d’essais au total. C’est sur les pistes argentines que le successeur du Pajero effectuera sa grande rentrée, après une première sortie fructueuse sur la Baja de Porto Alegre. Au volant des quatre protos, Peterhansel, Alphand, Roma et Masuoka hésitent entre le statut de favoris ou de challengers. Cette fois-ci, leurs rivaux de chez Volkswagen peuvent en effet revendiquer une plus longue expérience du diesel. Les pilotes de la firme allemande, habitués à collectionner les coups du sort, pourraient enfin voir le vent tourner en leur faveur. D’autant plus que sur le plan de la préparation, les ingénieurs qui ont planché sur les Race Touareg de Sainz, De Villiers, Miller et Depping n’ont apparemment rien laissé au hasard. Dans ce défilé de champions qui a eu lieu au parc des expositions de La Rural, il a donc été malaisé de désigner UN favori, ni même UNE voiture. Seul Robby Gordon, fanfaron en chef du sport auto aux Etats-Unis, n’hésite pas à déclarer que la victoire finale reste son seul objectif. Reste à savoir si son Hummer sera réellement capable de défier sur la durée les véhicules d’usine.

Côté motos, les deux derniers vainqueurs du rallye, Cyril Despres et Marc Coma, connaissent suffisamment la discipline pour s’exprimer avec prudence. Leur désir affiché de victoire est donc systématiquement tempéré par les réserves d’usage sur les aléas de la course. C’est peut-être ce genre d’incidents qui pourrait profiter à David Frétigné, qui ambitionne de se faire pour la première fois une place sur le podium, au guidon de sa Yamaha 450cc.

Les tout premiers éléments de réponse seront donnés sur la piste dès samedi, avec une première étape menant à Santa Rosa. D’ici là, les pilotes testeront leurs véhicules sur un podium monté sur la majestueuse place de l’Obélisque, au beau milieu de l’avenue du 9 juillet.

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Une étape et déjà des belles surprises.
Moto : Victoire de Coma (ESP) devant Czachor (POL) et Stanovnik (SLO). Frétigné est 6 ème tandis que Despres est 22è à plus de 40 minutes de Coma.
AUTO : Victoire de Al Attiyah (EAU) devant Sainz (ESP) et De Villers (BEL). Luc Alphand est 5è, Peterhansel 6è. Thomasse est 14è à 13 minutes. L'équipage du NOORRDD est 138è

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Cette épreuve du Dakar qui s'annonce pas facile, vraiment pas facile

Dakar – Etape 2 : Sainz s’impose et prend la tête

En se montrant le plus véloce au terme des 237 km de spéciale proposés ce dimanche aux concurrents du Dakar, Carlos Sainz a non seulement offert la première victoire sur ce Dakar 2009 à l’usine Volkswagen, mais le matador s’est également emparé de la tête du classement général.

Deuxième hier à l’issue de la première étape, Sainz s’est élancé ce matin dans les traces du Qatari Nasser Al-Attiyah, lauréat de l’étape disputée ce samedi. Déjà en tête au CP1, situé 15km après le départ de la spéciale du jour, l’ancien champion du monde des rallyes figurait au 2e rang au CP2 (km 108), avant de récupérer la première place en vue de la ligne d’arrivée. Crédité d’un chrono en 1h56’14’’, Sainz devance au classement journalier le Français Stéphane Peterhansel (Mitsubishi), pourtant leader au passage du CP2, de 1’14’’ et le Sud-Africain Giniel de Villiers (VW) de 1’56’’. Nani Roma et Luc Alphand placent leurs Mitsubishi Racing Lancer aux 4es et 5es rangs, tandis que leur équipier Hiroshi Masuoka, déjà lourdement retardé hier par des soucis moteurs, a officiellement rejoint aujourd’hui la liste des abandons en ne prenant pas le départ de cette spéciale dominicale.

Fortin premier Belge

Côté belge, c’est comme hier Jean-Marc Fortin qui emmène la colonie noir-jaune-rouge. Dans le siège de droite du Nissan Pickup Overdrive du Polonais Holowczyc, le Hutois a croisé la ligne d’arrivée au sixième rang, s’immisçant parmi les équipages officiels, et devançant notamment Nasser Al-Attiyah, vainqueur hier et donc handicapé aujourd’hui par sa position d’ouvreur sur les pistes.

Le deuxième Belge à l’arrivée ce soir est Jean-Paul Forthomme. Le coéquipier de Christian Lavieille (Proto Dessoude) pointe au 13e rang tandis qu’Eddy Chevaillier, copilote du Hollandais Van Merksteijn (BMW X3CC) et le tandem Henrard-Bruynkens (Buggy VW) se classent respectivement aux 19es et 20es rangs provisoires.

Au classement général de l’épreuve, Sainz profite de sa victoire pour s’emparer de la tête du rallye. Il possède 2’19’’ d’avance sur son équipier Giniel De Villiers et 3’51’’ sur la Mitsubishi de Stéphane Peterhansel. En toute logique, c’est Jean-Marc Fortin qui fait figure de meilleur Belge. Il pointe actuellement au 9e rang à 11’13’’ du Matador. Suivent Eddy Chevaillier, 13e à 25’28’’, Jean-Paul Forthomme, 16e à 32’14’’ et la paire Henrard-Bruynkens, 19e à 37’29’’.

Les choses sérieuses débutent ce lundi

Ce lundi, après une courte de liaison de 70km, les rescapés devront avaler 616 km contre le chrono pour rallier Puerto Madryn à Jacobacci. L’entrée en Patagonie, qui s’accompagnera d’un changement de terrain significatif, nécessitera de nouvelles aptitudes de pilotage. Le paysage sera nettement plus vallonné et les adeptes des longues courbes y trouveront leur compte. Les équipages devront se repérer aux lacs qui bordent la piste, environ une dizaine dans la journée, et aux nombreux flamants roses, qui seront les guides privilégiés de l’étape.


Ils ont dit :

Carlos Sainz (Volkswagen) : « Ça a été une étape très difficile avec toute cette poussière et les motos. Il y a des endroits où il fallait presque s’arrêter. A un endroit j’ai heurté un motard mais j’espère que ça va aller. »

Stéphane Peterhansel (Mitsubishi) : « Cette spéciale était un peu plus technique. Il y avait pour la première fois du hors piste donc on a cherché un petit peu. Mais ça s’est pas mal passé. J’ai rattrapé Luc (Alphand) dans un endroit. Après on s’est retrouvé dans la poussière des motards puis dans celle de Miller (VW). Là, ça a été un peu plus pénible jusqu’au moment où j’ai pu doubler Miller. C’était une spéciale courte mais malgré tout avec des grosses parties de fech fech dans une végétation assez épaisse, et là on était quasiment arrêté avec une visibilité de 1 ou 2 mètres. Les motards étaient couchés à droite et à gauche donc il fallait faire super attention. »

Giniel De Villiers (Volkswagen) : « Le début de la spéciale était très rapide mais dès que nous sommes arrivés dans la partie hors piste, la navigation n’était vraiment pas facile. On s’est un peu perdu. On a du perdre environ 1 minute ou 2. Ensuite dans la dernière partie avec beaucoup de fech fech, c’était très compliqué de passer les motards. Mais bon, j’ai voulu être prudent et éviter les pièges. On s’en sort pas trop mal ». (C.D. avec Com.)

Classement de l'étape

Pos. Nom Marque Temps
1 SAINZ - PERIN VW Race Touareg 2 01:56:14
2 PETERHANSEL - COTTRET Mitsubishi Racing Lancer 00:01:14
3 DE VILLIERS - VON ZITZEWITZ VW Race Touareg 2 00:01:56
4 ROMA - CRUZ SENRA Mitsubishi Racing Lancer 00:02:48
5 ALPHAND - PICARD Mitsubishi Racing Lancer 00:03:54
6 HOLOWCZYC - FORTIN Nissan Navara 00:05:46
7 MILLER - PITCHFORD VW Race Touareg 2 00:06:16
8 TERRANOVA - GUEHENNEC BMW X3 CC 00:06:20
9 AL ATTIYAH - THORNER BMW X3 CC 00:06:32
10 GORDON - GRIDER Hummer H3 00:09:24
11 DEPPING - GOTTSCHALK VW Race Touareg 2 00:11:23
12 SPINELLI - VIVOLO Mitsubishi Pajero 00:12:37
13 LAVIEILLE - FORTHOMME Proto Dessoude 00:12:52
14 NOVITSKIY - TYUPENKIN BMW X3 CC 00:13:09
15 CHICHERIT - BAUMEL BMW X3 CC 00:13:25

Classement général

Pos. Nom Marque Temps
1
SAINZ - PERIN VW Race Touareg 2 04:34:46
2 DE VILLIERS - VON ZITZEWITZ VW Race Touareg 2 00:02:19
3
PETERHANSEL - COTTRET Mitsubishi Racing Lancer 00:03:51
4
AL ATTIYAH - THORNER BMW X3 CC 00:04:15
5
ROMA - CRUZ SENRA Mitsubishi Racing Lancer 00:05:42
6
ALPHAND - PICARD Mitsubishi Racing Lancer 00:06:21
7
MILLER - PITCHFORD VW Race Touareg 2 00:08:20
8
TERRANOVA - GUEHENNEC BMW X3 CC 00:09:12
9
HOLOWCZYC - FORTIN Nissan Navara 00:11:13
10
GORDON - GRIDR Hummer H3 00:21:32
11
SPINELLI - VIVOLO Mitsubishi Pajero 00:22:39
12
NOVITSKIY - TYUPENKIN BMW X3 CC 00:23:37
13
VAN MERKSTEIJN - CHEVAILLIER BMW X3 CC 00:25:28
14
MAGNALDI - LENEVEU Buggy SMG Porsche 00:27:53
15
SZALAY - BUNKOCZI Opel Antara RR 00:29:19
16
LAVIEILLE - FORTHOMME Proto Dessoude 00:32:14
17
DE GAVARDO - BRUCY Buggy SMG V8 00:35:11
18
TOLLEFSEN - EVANS Nissan Navara 00:35:50
19
HENRARD - BRUYNKENS Buggy VW TDI 00:37:29
20
PALIK - DARAZSI Nissan Navara 00:37:55



Source: http://sport.turbomagazine.be/index.php

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Sans grande surprise, le tracé très typé WRC de l’étape de ce jour reliant Valparaiso à La Serena a profité à Carlos Sainz. Premier pilote à s’élancer cet après-midi à l’assaut des 294km spéciale, l’ancien double champion du monde des rallyes a survolé cette étape, rejoignant en vainqueur l’arrivée de celle-ci avec 4’02’’ d’avance sur son dauphin, l’Allemand Dieter Depping (lui-même ancien champion d’Allemagne des rallyes). Troisième, Mark Miller complète un Top 3 100% VW, tandis que Nani Roma, dernier rescapé de la maison Mitsubishi, pointe au 4e rang à 4’15’’ de Sainz.

Deuxième du rallye à 9 secondes du Matador à l’heure d’aborder cette étape, Giniel De Villiers a pour sa part concédé 10’48’’ au pilote espagnol. Voila qui ne va pas manquer d’apporter de l’eau au moulin de celles et ceux qui prétendent que le management de l’équipe allemande a d’ores et déjà figé les positions de ses représentants au classement général.

Comme de coutume, c’est Jean-Marc Fortin qui a rejoint l’arrivée avec le statut de premier Belge. Le coéquipier du Polonais Holowczyc à bord du Nissan Navara Overdrive a aujourd’hui concédé 17’33’’ au lauréat de la spéciale. Au classement général, le duo belgo-polonais conserve bien entendu sa 6e position.

Ce lundi, les concurrents affronteront la deuxième étape chilienne du Dakar. Reliant La Serena à Copiapo, elle sera composée de 449 km contre le chrono et il devrait s’agir du premier acte d’une trilogie décisive. La réputation du désert de l’Atacama, présenté comme le plus aride du monde, pourra être éprouvée par les concurrents. Ceux qui espèrent y trouver beaucoup de dunes seront comblés. Mais ils seront aussi généreusement servis en cailloux. Cette étape portera la signature du Dakar 2009, avec des changements de terrains nombreux. Le positionnement des difficultés, avec de longues portions de dunes dans le final, imposera aux pilotes de garder leurs forces. Il faudra à la fois faire preuve de polyvalence et d’un sens aigüe de la gestion de l’effort. (C.D.)

Classement de l'étape (10 voitures à l'arrivée)

Pos. Nom Marque Temps
1
SAINZ - PERIN VW Race Touareg 2 03:47:19
2
DEPPING - GOTTSCHALK VW Race Touareg 2 00:04:02
3
MILLER - PITCHFORD VW Race Touareg 2 00:04:12
4
ROMA - CRUZ SENRA Mitsubishi Racing Lancer 00:04:15
5
DE VILLIERS - VON ZITZEWITZ VW Race Touareg 2 00:10:48
6
CHICHERIT - BAUMEL BMW X3 CC 00:11:32
7
HOLOWCZYC - FORTIN Nissan Navara 00:17:33
8
GORDON - GRIDER Hummer H3 00:23:40
9
TOLLEFSEN - EVANS Nissan Navara 00:26:11
10
VAN DEIJNE - ROSEGAAR Mitsubishi L200 00:27:31

Classement général (10 voitures à l'arrivée)

Pos. Nom Marque Temps
1 SAINZ - PERIN VW Race Touareg 2 27:29:59
2 DE VILLIERS - VON ZITZEWITZ VW Race Touareg 2 00:10:57
3 MILLER - PITCHFORD VW Race Touareg 2 00:18:05
4 ROMA - CRUZ SENRA Mitsubishi Racing Lancer 00:33:31
5 GORDON - GRIDER Hummer H3 01:32:01
6 HOLOWCZYC - FORTIN Nissan Navara 02:57:05
7 TOLLEFSEN - EVANS Nissan Navara 03:25:32
8
DEPPING - GOTTSCHALK VW Race Touareg 2 04:51:45
9
VAN DEIJNE - ROSEGAAR Mitsubishi L200 05:57:49
10 CHICHERIT - BAUMEL BMW X3 CC 11:23:17









Dakar : Résultat inespéré à mi-parcours pour Overdrive

Au terme de la 1ère semaine de course, Holowczyc-Fortin, d’une part, et Tollefsen-Evans, de l’autre, ont brillamment défendu les couleurs de la jeune équipe Overdrive. A ce stade de l’épreuve, la petite structure namuroise considère que leurs 6e et 7e places respectives constituent un résultat exceptionnel. (Comm & M. Lacroix)

Dans le bivouac de Valparaiso, Grégoire de Mevius a vite retrouvé ses marques. Arrivé vendredi dans la ville chilienne où le Dakar s’est arrêté le temps d’une journée de repos, il a retrouvé les "troupes" d’Overdrive en grande forme. Il est vrai que les pick-up "made in Gembloux" ont réalisé un parcours presque parfait, jusque là. "Les deux équipages ont fait preuve d’une sagesse exemplaire, souligne l’ancien pilote. Bien sûr, nous sommes à notre place et nous bénéficions des soucis de nombreuses voitures officielles. Mais, dans le même temps, nos véhicules ont démontré qu’ils sont capables d’affronter un terrain difficile. Tout le monde s’accorde à dire qu’il s’agit d’une des éditions les plus dures depuis longtemps."
Pendant que les mécanos s’attèlent à remplacer les organes qui ont souffert durant cette première semaine, le patron du team namurois envisage la suite… "Si je peux me permettre de leur donner un conseil, c’est de rouler un peu moins vite dans les prochains jours, explique Grégoire. Mais j’admets que ce n’est jamais simple parce qu’on peut céder à la déconcentration." Et l'esprit d'équipe ? Pense-t-il que le pilote polonais et son équipier norvégien s’aideront en cas de pépin ? "J’en suis persuadé ; il y a un respect, une sympathie entre eux, affirme "Greg". L’un et l’autre sont d’accord : ils n’hésiteront pas à s’arrêter et à sortir du mauvais pas celui qui sera coincé. Bien entendu, cela ne doit pas durer trop longtemps. Il est logique que chacun pense d’abord à sa course."

Devant des voitures d'usine
À quelques mètres de là, Jean-Marc Fortin prépare le road-book de l’étape suivante. Comme pour appuyer les propose de son associé (Grégoire de Mevius), il admet que, par moments, il éprouve des difficultés à croire à sa 6e place actuelle. "En rallye-raid, le débit des paroles du copilote est forcément moins élevé qu’en WRC. Des notes sont parfois espacées d’une vingtaine de kilomètres. Et parfois, je me pince, je me dis que ce qu’on a réalisé au cours de la première semaine est un moment très fort. Pour l’instant, nous sommes la meilleure équipe non-officielle et certaines voitures d’usine sont derrière nous. Un scénario qui n’arrive que très rarement en sport automobile. Bien sûr, je suis conscient que nous n’avons parcouru que la moitié du parcours et que la suite du programme sera particulièrement difficile. Les étapes dans le désert d’Atacama seront décisives, en particulier la boucle du côté de Copiapo. Nous allons poursuivre sur le même rythme, nous concentrer sur l’étape du jour sans tirer de plan sur la comète."
Objectivement, on peut l'affirmer sans chauvinisme mal placé, quoi qu’il arrive, le Dakar 2009 est déjà réussi pour toute l'équipe Overdrive. Et comme diraient ses patrons, "le reste, c’est du bonus." Bon les gars et bravo !



Source: http://sport.turbomagazine.be/index.php

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J'avais pas entendu ! ils n'en parlent pas sur le site officiél désolé


"Dakar-2009 - Un motard espagnol dans le coma, "pronostic vital très engagé"
13.01.09 | 23h50

Le motard espagnol Cristobal Guerrero se trouve dans un état grave et le pronostic vital est "très engagé", après une chute lors de la 10e étape du Dakar dans la spéciale autour de Copiapo, ont annoncé mardi les organisateurs.

"Les examens pratiqués ont conduit les médecins à constater que le +pronostic vital était très engagé+, écrit l'organisateur dans un communiqué.

Cet Andalou de 48 ans a chuté au km 160 de ce parcours chronométré de 476 km. A la mi-journée, il avait été conduit, dans le coma, à l'hôpital de Copiapo, où un scanner a été pratiqué.

Guerrero, père de deux garçons, participait à son premier Dakar au guidon d'une KTM. Au départ de la 10e étape, il pointait en 76e position au classement général

Il s'agit du deuxième accident grave de cette 30e édition, après le décès du Français Pascal Terry.

Disparu lors de la 2e étape, dimanche entre Santa Rosa et Puerto Madryn (sud-est), Terry, 49 ans, avait été retrouvé sans vie mercredi à 02H10 locales (05H10 GMT), à une quinzaine de mètres de sa moto, trois jours après sa disparition.

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Le motard espagnol Cristobal Guerrero, plongé dans le coma après sa chute le 13 janvier au cours de la 10e étape du Dakar, va être sorti de son coma. La directrice médicale du rallye, Florence Pommerie, a affirmé que les médecins de Santiago où se trouve Guerrero, «vont supprimer la sédation pour qu'il se réveille cérébralement», afin d'établir un premier diagnostic cérébral.

«Ils contrôlent la situation», a -t-elle assuré.
Guerrero, 48 ans, avait chuté au km 160 de la spéciale comptant 476 km autour de Copiapo. Père de deux garçons, il participait à son premier Dakar au guidon d'une KTM. Au départ de la 10e étape, il pointait en 76e position au classement général.

leparisien.fr

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C'est sous une chaleur étouffante, environ 35° que le Dakar revient à la case départ, à la Rural de Buenos-Aires.

Marc Coma remporte son deuxième Dakar à moto (après sa victoire en 2006). Il a mené la course du départ à l'arrivée se permettant à la mi-course de posséder une avance suffisante pour la gérer durant la deuxième semaine. L'espagnol pas du style à « sucer » les roues des adversaires possédait une heure trente d'avance sur ses adversaires à la journée de repos à Valparaiso, il a fait preuve ensuite d'une maturité exemplaire.

En autos, Giniel de Villiers et Dirk Von Zitzewitz (VW Touareg) ramènent la première victoire à Volkswagen après laquelle le constructeur allemand court depuis cinq ans.
Elle n'est pas tirée par les cheveux se montrant même facile…

Enfin en camion Firdaus Kabirov – Aydar Belyaev et Andrey Mokeev inscrivent leurs noms en camions, le match des mastodontes montrés du doigt durant l'épreuve, ont su mener leur barque !

Une édition dont le bilan sera tiré demain matin par ASO au cours d'un dernier point presse prévu avec le patron de l'épreuve Etienne Lavigne et son directeur sportif, David Castéra.

Marie-France ESTENAVE
©️ CAPSIS International

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Vous avez penser quoi de se dakar 2009 ?
Moi personnellement j'ai bien aimé.
Mais quelque petit problème reste toujour, comme avec l'argent donner au motard par les teams en catégorie auto lorsque leurs pilotes ont roulé sur des motos.
Enfin bravo a l'organisation.

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Dans l'ensemble j'ai bien aimé le rallye, quelques erreurs de l'orga mais bon quand tu vois le nombre de kilomètres parcouru c'est normal qu'il y ai des petites bourdes

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